Se soir c'est la teuf bébé !

J'étais à fond, j'avais envie d'elle, de faire l'amour avec elle et pas de me la taper, pour moi la nuance est assez importante pour que je la précise! Elle avait un corps parfait, je l'avais déjà vu en maillot de bain, tout comme elle, en même temps, je n'avais aps de complexe, j'étais sur de moi en ce qui concernait mes atouts, même si je n'en jouais pas forcément, j'étais conscient que je n'étais moche quoi ^^ Elle m'avait vu torse nu des tas de fois, en caleçon aussi d'ailleur, je n'avais aucun problème avec ça et Juliette en maillot putain !!!
Je ne cessais de la caresser, enlevant les quelques boutons de son jean, avant qu'elle ne le dégage elle même, elle était magnifique, je la regarda un instant admirant sa beauté, je l'aimais comme un dingue, ma chemise ne fit pas long feu pas plus que la sienne. Je caressa sa cuisse l'embrassant dans le bas du ventre avant de détacher son soutient gorge ...

Tu es magnifique mon ange....

C'était une évidence pour moi que je n'allais pas lui sauter dessus! Je n'étais pas de ce genre, la, elle était bien trop précieuse à mes yeux pour que je puisse imaginer lui faire le moindre mal, ou la blesser malencontreusement en me conduisant comme le dernier des con. Je l'aimais et je voulais le lui prouver en rendant sa première fois exceptionnelle. Je savais qu'elle était stressé, pas sur d'elle, qu'elle ne sentait pas à la hauteur de se que je pourrais attendre d'elle, ce qui était totalement faux. Je savais qu'elle serait parfaite. Elle avait tendance à se comparer à mes exs copines ce que je n'arrivais pas comprendre. Il n'y avait aucune comparaison, elles étaient comme elles étaient et Juliette était elle même c'est tout. Jamais il ne me serait venu à l'idée de la comparer à mes anciennes copines, mais elle avait cette idée en tête et encore maintenant, alors que nous étions bien tous les deux, elle était persuadée ne pas être à la hauteur. Je la regarda dans les yeux amoureusement.

Arrête chérie. Toutes ses pétasses ne t'arrivaient même pas à la cheville. Tu es géniale mon coeur, n'en doute jamais.

Je ne savais pas si ça suffirait à la convaincre, elle avait ce sentiment de ne pas être à la hauteur très ancré en elle. Elle devait se cadeaux à son père, parce qu'alors sa mère elle est sur d'elle et pour dix au moins! Elle caressait mon torse, alors que mes mains se baladaient sur ses cuisses, faisant glisser le bas de son sous vêtement, en embrassant son ventre toujours très doux, si elle n'était pas à l'aise, elle pouvait me stopper. J'avais peur d'être trop entreprenant ou pas assez, en fait j'étais stressé à l'idée qu'elle puisse avoir un mauvais souvenir de notre première fois ensemble.

Nous allions passer un cap dans notre relation pour le coup ça passe ou sa casse, mais j'avais foi en nous, tout allait bien se passait, d'ailleur ça commençait plutot pas mal je trouve. Pour une débutant, elle se démerdait bien, elle apprenait vite surtout et je pense qu'a force de pratique nous allions prendre un pur plaisir à chaque fois. Je savais que pour les filles ce n'était pas toujours agréable la première, mais je voulais que Juliette en garde un souvenir mémorable.

J'étais sur elle, nos corps collés l'un à l'autre, nu sous la couette. C'était fou comme je la désirais, comme je l'aimais, elle était ma drogue, une journée sans Juliette et j'étais en manque, elle avait cet effet la sur moi. Ses caresses, ne firent qu'accentuer ce désir qui brulait en moi, ses jambes contre mes jambes, ses mains sur mes épaules, je me colla un peu plus à elle, lui rendant ses caresses, l'embrassant passionnément avant d'entrer en elle délicatement pour entamer des va et vients langoureux. Ma tête contre son épaule, je l'embrassa dans le cou, je me sentais fiévreux ... c'ets l'amour ça je crois !

J'avais été patient et j'aurais continué à l'être si elle ne m'avait pas donné son feu vert, mais j'étais content qu'on en soit arrivés là. J'avais l'impression que notre relation rentrer dans un état vraiment sérieu, une relation d'adulte en quelques sortes sauf que nous étions deux adolescents. C'était une concrétisation de notre amour, au même titre que plus tard on aurait un enfant, aujourd'hui, l'aboutissement était notre première nuit d'amour tous les deux et j'en étais très heureux. Ma Juliette était tout à moi et j'étais tout à elle. Qu'est-ce que je pouvais l'aimer!

On en arriva au point de non retour, je la sentis se contracter sur le coup pour se détendre un peu au fil de mes va et vient. Je ne voulais pas lui faire mal, j'étais le plus doux possible, je l'embrassais, la caressait pour la détendre. Elle n'était pas très assurée, mais ça viendrait au fil du temps ... Pour moi elle était parfaite, sentir sa jambe remontait contre moi, m'exita un peu plus et j'accéléra mes mouvement de bassin essayant de lui procurer autant de plaisir que j'en ressentais bien que je ne sois pas sur que se soit aussi agréable pour elle que moi. Ca viendrait ... je l'espérais . Elle me glissait des mots doux, ce qui me rassura sur le fait que je ne devais pas trop mal m'en sortir avec elle.

Je t'aime mon coeur ...

C'était sincère, du fond du coeur, je serais prêt à tout pour elle!

C'était la première fois que Juliette avait l'autorisation de sa mère pour venir dormir ici .. ben elle serait pas déçut la belle mère si elle voyait sa fillle ! En même temps, je ne vais pas penser à ça sinon ça va me bloquer sérieusement! Je comprenais la mère de Juliette, d'ailleurs, je ne faisais pas cas des petites provocations qu'elle avait pour moi, au contraire, je prenais ça avec le sourire, ce qui devait l'énerver encore plus. Je ne voulais en aucun cas créer des problèmes entre Juliette et sa mère, je m'en voudrais toute ma vie si je devais semer le trouble entre elles. Je savais que ma petite amie était très proche de sa mère, j'avais trouvé ça drole au départ, je n'avais pas ce genre de relatuon avec mes parents, mais quand j'avais su son histoire personnelle, j'avais compris pourquoi elle ne pouvait pas se passer d'elle. Elle n'avait eu qu'elle sur qui compter et leur relation était à tout épreuve.

L'amour qui m'unissait à Juliette était unique, fort, beau. C'était quelque chose que je n'avais jamais ressenti et d'un côté ce besoin, cette dépendance que je ressentais envers elle me faisait peur. Si elle venait à me quitter, je ne sais pas si je pourrais vivre sans elle. J'étais en train de lui montrer tout l'amour que j'avais pour elle. J'avais envie d'elle depuis le début et je ne le regrettais pas. Elle était formidable, douce, tendre, j'aimais ce côté un peu maladroit, c'était sa première fois et elle se débrouillait très bien ... en tout cas, elle me faisait un effet de dingue! J'étais de plus en plus entreprenant accélérant les coups de reins en soupirant de plaisir. Juliette et son foutu manque de confiance ...

Jamais mon coeur ... Je t'aime comme un dingue ...

Tout ça avec ma respiration saccadé parce que malgrès tout c'est sportif! Je la caressais, ses hanches, embrassant ses seins, allant de plus en plus vite jusqu'a arriver au septième ciel ... enfin pour moi du moins. Je me trouvais très égoiste à ce moment la ...

Cette histoire serait celle de ma vie. C'était ma Juliette et je ne me voyais pas vivre sans elle. Au début de notre relation, je comprenais pas pourquoi j'étais si jaloux des autres mecs qui la mattait, pourquoi je ne supportais de la voir triste, pourquoi je m'inquiétais quand elle ne répondait pas dessuite à mes textos. Je ne savais aps ce que c'était qu'être amoureux, qu'avoir besoin de la personne pour vivre, qu'être dépend. Juliette m'avait appris ça. Avant, j'étais jaloux par principe de propriété, si un mec s'approchait de ma nana du moment je lui cassait la gueule pour dfendre mon territoire, parce que cette fille c'était la mienne et personne n'avait le droit de poser les yeux sur elle. Avec Juliette, j'étais jaloux aprce que j'avais peur qu'elle ne trouve mieu ailleur. J'étais conscient que je n'avais pas que des qualité, bien au contraire, j'étais un gamin à coté d'elle, elle était mature, posé, sérieuse, j'étais l'inverse, un fetard, gamin qui n'en avait rien à foutre des cours. Elle avait réussi à me faire grandir et je ne pourrais jamais l'en remercier assez.

Notre première nuit d'amour avait été pour moi la plus belle et je suis sincère. Je m'apercevais que faire l'amour avec une femme qu'on aime c'est totalement différent. Une autre, je ne me serais pas préocupé de ce qu'elle voulait, de ce qu'elle aimait, avec Juliette je ne voulais pas etre maladroit, je voulais etre parfait pour elle. Elle était la première femme pour qui je me remettais en question c'est pour dire l'effet qu'elle a sur moi. Une fois allongé, je la garda dans mes bras.

Je t'aime mon amour ....

Je l'embrassa pour appuyer mes dire. Je caressais ses bras du bout de mes doigts en ne cessant de la regardait, je l'admirait, elle était tellement belle ....

Est - ce que .... ça a été ... enfin eu ... tu ne regrette pas ....

Et maintenant je cherche mes mots, mais quel con !

Juliette était jalouse, mais discrètement. Je voyais les regards qu'elle lançait aux filles qui me collaient d'un peu trop près et je devais avouer que j'en étais flatée. Moi j'étais un peu moins subtil, encore se soir si elle ne m'avait pas retenue j'aurais démoli ce type qui la déshabillait du regard. A ce niveau la c'était carrément une question de respect et qu'on manque de respect à Juliette je ne le supportais pas. Bon au fille en général maintenant, parce qu'avant j'étais de ceux qui sifflait les nana dans la rue ou qui les coincait dans un coin pour les embrasser .. enfin très con quoi ! Jamais je ne m'étais comporté comme ça avec Juliette et jamais je ne le ferais. Elle méritait qu'on la traite comme une princesse ... même quand elle me posait des questions à la con comme maintenant!


Biensure qu'on est toujours ensemble. Pourquoi tu me demandes ça Juliette? Tu croyais j'allais coucher avec toi et te jeter ensuite ?

J'en revenais pas qu'elle me demande ça. Je ne m'étais jamais foutu d'elle et je ne le ferais jamais, du moins jamais consciement. Je la regarda, caressant ses cheveux, content de ce qu'elle venait de me dire. j'avais été parfait ..; ben oui ça fait toujours plaisir à entendre. J'espèrais juste que la prochaine fois, elle prendrait autant de plaisir que moi, je ne voulais pas être égoiste!

Je t'aime chérie .... sincèrement.

Je savais qu'elle avait besoin qu'on le lui dise, alors je le lui répétais sans cesse. Je voulais la rassurer.

Mais parce que je t'aime. C'est si difficile à croire. Je sais que j'ai une réputation à la con et je la mérite. Mais maintenant c'est toi que j'aime, c'est de toi dont j'ai besoin tout le temps, pas d'une autre. Tu es la seule et tu resteras la seule, les autres je m'en tape royalement. Et puis pour une débutante, t'es plutôt douée !

Je lui fis un clin d'oeil. Si j'avais voulu la jeter, il y a longtemps que se serait fait, je n'étais pas du genre à prendre des pincettes avec les filles et elle le savait, les filles qui me saoulait je les envoyer bouler sans scrupule. Alors si j'avais voulu la mettre seulement dans mon lit, je n'aurais pas attendu aussi longtemps, je l'aurais fait boire, je lui aurais mis la pression j'aurais trouvé, mais je ne pouvais pas faire ça avec Juliette, je ne voulais pas. Je voulais qu'elle prenne son temps, qu'elle se sente prête, je ne voulais pas gacher sa première fois en me comportant comme le dernier des cons. Alors oui une fois qu'elle s'était déshabillé, j'aurais pu changer et me transformer en connard, j'aurais pu etre brusque et ne pensais qu'a moi, mais avec Juliette c'était inenvisageable. j'avais envie de la protéger, de lui prouver tout mon amour, de lui prouver encore et toujours qu'elle pouvait avoir confiance en moi, que je n'irais pas voir ailleur parce que tout ce que je voulais c'était elle.

Regarde moi ma puce .... j'aime pas quand tu fais ça.

Je détestais la voir baisser les yeux comme ça, je voulais qu'elle gagne en assurance, elle n'avait rien à craindre de moi, je ne la jugerais jamais et je lui répèterais encore et toujours.

ET alors . Je m'en fou de cette pétasse, qu'elle vienne me voir , je vais la renvoyer dans les strings de sa mère! Qu'est-ce qu'il faut que je fasse pour te prouver que je ne veux que toi Juliette ?

Je ne savais pas comment arriver à lui faire prendre entièrement confiance. Je sais que j'avais un passé un coureur, mais c'était fini tout ça, ça avait été ffini le jour ou je l'avais rencontré. Maintenant il n'y avait qu'elle et aucune autre ne me faisait l'effet qu'elle me faisait.

T'es mon p'tit coeur à moi !

Ce qu'elle me dit me toucha ... bon elle aurait pu éviter l'allusion à la belle mère ... si elle nous voyait, elle nous tuerait! Enfin moi en tout cas ! Je l'embrassa dans le cou, déposant pleind e baiser comme si j'allais la manger !! Ouai c'est ça, j'avais envi de la manger !!!

Je trouve qu'elle ne s'en était pas trop mal sortit, elle n'avait pas fait l'étoile de mer dieu merci , elle prenait des inititiative et puis ses caresses me rendait dingue ! En même temps, c'était Juliette quoi, elle me faisait un effet que jamais aucune fille ne m'avait fait, je pense que c'est l'amour le vrai. Nous étions un couple adulte maintenant, un couple complet comme on l'entend et j'en étais très content. J'avais l'impression que notre histoire prenait une tournure encore plus sérieuse qu'avant. Il y en a certain que ça aurait fait flippé mais pas moi. En même temps, avec juliette, je me sentais de tout affronter et en premier mes parents quand ils verraient l'état de la maison ! IL fallait que j'y pense à ça aussi !

Non ma puce, ne t'excuse pas, pas avec moi. Tu n'as rien à craindre, je ne te jugerais jamais tu le sais.

J'avais l'air sur de moi, mais ce n'était qu'une façade pour la rassurer. Je savais m'y prendre avec les filles, je savais leur dire des mots doux, leur faire des promesses que je ne tiendrais jamais, mais pas avec Juliette, avec elle je n'étais pas sur. J'avais peur de mal faire, de la blesser sans le vouloir, chose que je ne me pardonnerait jamais. Elle me donnait confiance, comme je lui donnait confiance; Nous étions deux gamins qui avions une vie personnelle pas facile et on se reconstruisait ensemble. Moi ça m'allait très bien comme ça.

Tu as tout le temps que tu veux...

Je l'embrassa partout, la faisant éclater de rire! Qu'est-ce que j'aimais l'entendre rigoler comme ça .... je l'écouterais pendant des heures!!

Tu sais que c'est 5 heures .... on fait péter demain et on se fait une grasse mat digne de se nom ?!

Ben oui rêve toujorus mon pauvre garçon!

Qu'est-ce que j'aimais quand elle me disait qu'elle m'aimait! Venant de sa part c'était quelque chose qui me rendait dingue. Je l'aurais écouter me le dire pendant des heures. Quoi que se soir, elle avait fait fort, elle me le placait dans quasiment toutes ses phrases pour mon plus grand plaisir. J'étais plus réservé qu'elle de ce côté la, je lui montrais que je l'aimais pas des gestes, des attentions, parfois par les mots, mais j'étais beaucoup plus pudique. Quoi qu'avec Juliette j'avais fait des efforts ... enfin efforts, je n'avais pas à me forcer, ça venait tout seul et beaucoup plus facilement que je ne le pensais.

Très drole ! Si je veux me débarrasser de toi, j'ai juste à te virer du lit ... comme ça ...

Je la poussa vers le bord, mais la rattrapa avant qu'elle ne tombe. En même temps, elle était légère comme une plume, j'en faisais ce que je voulais ! Je la repris dans mes bras, caressant ses bras, en la dévorant des yeux ....
La menace de la belle mère, elle savait que ça marchait à tous les coups! Bon ben on ferait une grasse matinnée une autre fois ... pas grave je dormirais en cours . Ce ne serait pas la première fois en même temps, les profs étaient habitués!

J'aurais essayer .... Non je viens avec toi. Y a pas de raison que tu te lèves et pas moi.

Pour ça, je n'étais pas macho. Juste un minimum, mais je n'étais pas du genre à laisser les femmes tout faire alors que je me conduisais comme un pacha non pas du tout. J'étais sur le même pied d'égalité que ma copine.